« Nous pouvons prélever du sang sur une patiente enceinte et découvrir si son bébé est chromosomiquement normal, homme ou femme, ou si elle a une maladie telle que le syndrome de Down, le syndrome de Turner ou le syndrome de Patau », a-t-il expliqué à ElIntra.com. Juan Aguilera, spécialiste en médecine de la reproduction.
Précisément en rapport avec ce sujet, une formation a été réalisée dans notre ville, et elle s’adressait aux professionnels de la santé ; avait une présence nationale et internationale. « Pour ce premier jour, nous avons invité 2 conférenciers d’Espagne : Nasser Al Asmar Pinar, conseiller scientifique d’Igenomix, et le Dr Pilar López, directrice du laboratoire de génétique Igenomix en Argentine », a déclaré Aguilera.
Il y avait aussi 3 orateurs faisant référence à la génétique reproductive en Argentine : Laura Kopcow de Pregna de Buenos Aires, Edgardo Andreata de Mar del Plata et César Sarmiento de Nascentis de Córdoba. « Aujourd’hui, avec les progrès de la technologie et de la science, nous disposons de nouveaux outils pour le diagnostic génétique des maladies qui peuvent être utilisés quotidiennement en consultation gynécologique et obstétricale. Par exemple, nous pouvons prélever du sang d’une patiente enceinte sur son bras et savoir si son bébé est normal sur le plan chromosomique, s’il est de sexe masculin ou féminin, ou s’il a une maladie chromosomique telle que le syndrome de Down, le syndrome de Turner ou le syndrome de Patau. . Ces avancées technologiques sont accessibles à tous ici à Salta, a assuré Aguilera, « car nous avons la possibilité d’obtenir les échantillons et les résultats en peu de temps. Nous pouvons également donner un conseil génétique aux patientes avant qu’elles ne tombent enceintes, soient enceintes ou ont déjà des enfants atteints d’une maladie génétique pour la prévenir avec de futurs bébés. » L’activité s’adressait aux spécialistes en gynécologie et obstétrique, mais il y avait aussi la présence de psychologues, endocrinologues et biochimistes.
